Chez itk, nous avons un principe : être présent aux autres, par esprit d’équipe.
Tous les 15 jours « Prenez place » donne la parole aux réseaux professionnels auxquels itk adhère.
Ils ont de l’énergie à revendre et nous vous ouvrons leurs portes. Prenez place !

Aujourd’hui, Patricia VILLAVICENCIO, Chargée de Développement Amériques-Pacifique et Animation de la Filière Vitivinicole et du Groupe Emballage de l’ADEPTA, répond à nos questions.

A quel moment de son développement ITK a rejoint ADEPTA ? Quelles évolutions avez-vous observé ?

Le CIRAD, déjà adhérent à l’ADEPTA, nous a présenté à l’époque la start-up, ITK, qui venait d’être créé en 2003 par Eric Jallas, chercheur issu du Centre. ITK a rejoint l’ADEPTA pour se développer à l’international, notamment aux Etats-Unis. L’ADEPTA a mis son réseau à disposition d’ITK qui a investi sur ce marché et depuis, s’est développé créant une filiale avec une équipe locale. Quelques années plus tard, ITK a pénétré ce marché et consolide petit à petit son offre outre-atlantique. Une autre région où ITK se développe également est l’Afrique.

Comment se sont tissés les liens entre ITK et ADEPTA?

Nous avons tissé des liens d’échanges et de partage (informations marché, contacts, …). ITK est devenu « Administrateur » en intégrant le Conseil d’Administration de l’ADEPTA et en participant activement à la vie de l’association.

Cette période est marquée par la crise sanitaire : Qu’est-ce qui a changé pour ADEPTA ?

La crise sanitaire liée au COVID-19 a provoqué immédiatement une fermeture des frontières avec tous les pays où l’ADEPTA travaille. Tous les événements en France et à l’étranger ont été annulés ou reportés au 2e semestre 2020 ou en 2021. Malgré cette situation inédite où les rencontres en présentiel étaient interdites, toute l’équipe de l’ADEPTA s’est mobilisée pour informer ses adhérents de la situation internationale par mail, par notre réseau WhatsApp ou par des réunions en visioconférence. Nous avons tout mis en oeuvre pour aider les entreprises à être prêtes pour l’ouverture des frontières des principaux marchés.

Côté réseau, quelles tendances voyez-vous émerger ?

Pendant la crise sanitaire, le travail en réseau s’est maintenu et même s’est développé de plus en plus. C’est ainsi que nous avons pu organiser des visioconférences avec des professionnels in-situ dans différents pays. Nous envisageons de continuer et d’élargir cette tendance.